Gâteau chocolat courgette sans gluten : moelleux, bluffant et facile

« C’est comme ça que j’ai réussi à faire manger de la courgette au grand de mon mari… sans qu’il s’en rende compte. Ses sœurs se sont régalées à lui en resservir. »

Une bouchée, et l’enfance revient. Mais en version légère et maligne et on se ressert sans culpabilité. 

Ingrédients

• 200 g de chocolat noir pâtissier

• 40 g d’huile neutre (tournesol ou coco désodorisée) ou de beurre ou margarine

• 200 g de courgette râpée finement (on peut retirer la peau pour la rendre totalement invisible)

• 4 œufs

• 80 g de sucre de canne complet (ou sucre coco, ou muscovado)

• 30 g de poudre d’amande ou de noisette (facultatif mais délicieux)

• 60 g de fécule de maïs

• 1,5 cuillère à café de levure

• 1 pincée de sel

Préparation

1. Préchauffer le four à 180°C, chaleur tournante si possible.

2. Faire fondre le chocolat doucement au bain-marie ou au micro-ondes (par tranches de 30 secondes). Ajouter l’huile, puis laisser tiédir.

3. Râper la courgette finement sans l’égoutter. C’est elle qui apporte le moelleux. Un mixeur peut aussi convenir si l’on manque de temps.

4. Dans un grand bol, fouetter les œufs avec le sucre jusqu’à ce que le mélange blanchisse et devienne mousseux.

5. Ajouter le chocolat fondu et la courgette râpée. Mélanger doucement.

6. Incorporer la poudre d’amande, la fécule, la levure et le sel.

7. Verser la pâte dans un moule huilé ou chemisé (moule à cake ou moule rond).

8. Enfourner pour 25 à 35 minutes. La lame d’un couteau doit ressortir légèrement humide mais sans pâte crue.

À partager avec malice

On ne sent même pas la courgette… mais on savoure le moelleux, le fondant, et cette joie d’avoir cuisiné un gâteau plus léger que d’habitude.
Une pensée spéciale pour tous les parents qui peinent à faire manger des légumes aux enfants : cette recette est une aubaine.

Astuce bonus

Déguste-le tiède, accompagné d’un filet de purée d’amande ou d’une touche de crème de coco.
Et prépare-toi à la question rituelle, les yeux écarquillés :
« Mais… c’est quoi ton secret ? »